Pour la reconnaissance du Créateur et la paix sur terre!
"Tous face à un même Créateur !"
Pour la reconnaissance du Créateur et la paix sur terre!
"Tous face à un même Créateur !"
"Tous face à un même Créateur !"
"Tous face à un même Créateur !"
Le Créateur est la force première qui, sans être visible, fait naître tout ce qui bouge et tout ce qui repose. Il n’est ni un objet, ni une chose parmi d’autres, mais la cause invisible qui permet à l’univers d’exister et de changer.Chaque chose que nous voyons, touchons, ou ressentons — la lumière, la matière, le temps — est l’effet de ce Créateur. Il est à la fois mouvement et repos, le souffle qui anime et le silence qui permet d’être.Nous sommes tous, sans exception, des parties de ce même Créateur, observés et observateurs à la fois. En nous, le Créateur se manifeste par la vie et la conscience.Si le Créateur n’existait pas, rien ne pourrait exister — pas même la pensée qui refuse son existence.
L’univers, avec son ordre, sa complexité et ses lois fondamentales, ne peut être un simple hasard sans cause. La conservation de l’énergie, la causalité, et les découvertes de la physique moderne — expansion cosmique, vide quantique actif, constante cosmologique — révèlent une source première, hors du temps et de l’espace, qui transcende tout ce que nous pouvons observer.
Refuser cette cause première, c’est nier non seulement la réalité, mais aussi la logique même qui rend possible la pensée, l’existence et la connaissance.
"Cessez vos rituels creux et vos édifices grandioses si vos cœurs sont loin de la vérité. Dieu ne cherche pas des apparences, mais des vies transformées par l’amour et la droiture."
"Vous bâtissez des tours et accumulez des richesses, mais vos sociétés écrasent les faibles et ignorent les affamés. Repentez-vous, car le jugement viendra si vous persistez dans l’injustice."
"Pourquoi vous divisez-vous au nom de Dieu ? Le Saint d’Israël appelle tous les peuples à s’unir dans la justice et la paix, non à se déchirer par des dogmes ou des rivalités."
"La terre souffre à cause de votre avidité et de votre orgueil. Tournez-vous vers votre Créateur avant que la destruction ne s’aggrave. Il est encore temps de choisir la vie et la réconciliation."
"N’ayez pas peur, car Dieu n’a pas abandonné le monde. Un jour viendra où la paix régnera, où les blessures seront guéries, et où tous reconnaîtront leur Créateur. Préparez ce jour par vos actes de justice et de foi."
"Vous avez remplacé l’adoration du Dieu vivant par des idoles modernes : l’argent, le pouvoir, les écrans. Rien de tout cela ne vous sauvera. Revenez à ce qui donne un sens éternel à vos vies."
Sur Youtube, musique inspirée du Créateur, cliquez sur le lien ici-bas (LOGO Youtube).
"La non-violence est ma force. Elle peut transformer le monde si nous l’embrassons avec cœur."
"J’ai un rêve : l’égalité unit les cœurs. Marchons ensemble pour la justice et la paix."
"Je crois en la réconciliation. Ensemble, nous pouvons guérir et unir notre monde."
"La paix naît de la réconciliation. Tendons la main pour construire un avenir commun."
"La paix est en nous. Respirons, aimons, et elle rayonnera."
Il y a bien longtemps, dans un désert aride et infini, un peuple marcha pendant quarante ans. On les appelle les Israélites, mais ils n’étaient pas un groupe homogène, tous issus d’Abraham par le sang. Parmi eux se trouvaient les fils et filles de Jacob, descendants directs d’Abraham par Isaac et Israël, porteurs d’une promesse ancienne. Mais il y avait aussi d’autres âmes : des Égyptiens qui avaient fui l’oppression avec eux, des étrangers mêlés à la foule par mariage ou par choix, et des tribus voisines attirées par les murmures d’un Dieu unique qui parlait dans le feu et le vent. Ce n’était pas une lignée pure, mais un rassemblement hétéroclite, uni par une marche et un espoir.
Dans ce désert, une voix tonna depuis une montagne : « Je suis l’Éternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison de servitude. » C’était le premier commandement, une reconnaissance du Créateur – non pas comme une idole taillée dans la pierre, mais comme une présence qui libère, qui appelle, qui voit chaque cœur, qu’il soit fils d’Abraham ou étranger dans la foule. Cette parole ne s’adressait pas seulement aux descendants directs, mais à tous ceux qui écoutaient, à tous ceux qui pouvaient lever les yeux vers l’inconnu et dire : « J’entends. »
Ces marcheurs trébuchèrent souvent. Les enfants de Jacob doutèrent, les Égyptiens regrettèrent leur passé, les étrangers vacillèrent entre leurs anciennes croyances et cette voix nouvelle. Pourtant, de leurs pas incertains jaillit une lumière – une connaissance fragile, un fil d’or tissé dans leurs récits : le Créateur existe, et Il appelle l’humanité à se reconnaître dans Sa création. Cette lumière ne resta pas enfermée dans le désert ; elle se répandit à travers les âges.
Les siècles passèrent, et la voix du Sinaï résonna dans d’autres langues, d’autres cœurs. Moïse grava des lois pour guider, Jésus tendit une main aux rejetés, Mahomet chanta une unité pour tous, Bouddha éclaira une paix intérieure, les sages hindous virent l’infini dans chaque âme, et les athées, sans nommer Dieu, cherchèrent un sens dans la raison. Chacun reçut un éclat de cette connaissance originelle – pas un privilège pour un seul sang, mais un héritage pour tous, né du chaos du désert où descendants d’Abraham et étrangers marchaient côte à côte.
Aujourd’hui, dans un monde divisé, cet héritage nous revient. Le désert nous enseigne que l’élection n’est pas une question de naissance, mais de réponse. Les fils de Jacob, les Égyptiens repentis, les nomades curieux – tous pouvaient être élus, non parce qu’ils étaient parfaits, mais parce qu’ils ont entendu l’appel du Créateur et ont choisi d’y répondre. Et toi aussi, tu le peux.
Imagine une femme dans une ville bruyante, lisant le premier commandement dans un vieux livre. Elle murmure : « Il y a un Créateur », et décide d’aider un voisin dans le besoin – une élue par son acte. Imagine un homme méditant sous un arbre, un descendant spirituel de ces étrangers du désert, trouvant une vérité sans nom et la partageant – un élu par sa quête. Imagine une enfant récitant une prière musulmane, reconnaissant Allah comme le Libérateur, et choisissant la bonté – une élue par sa foi. Imagine un athée, étudiant les étoiles, sentant une grandeur sans la nommer, et travaillant pour la justice – un élu par son humanité.
Le Créateur, dont le premier souffle fut entendu dans le désert, ne choisit pas par le sang, mais par le cœur. Les Israélites, avec leurs compagnons d’exode, furent les premiers à porter cette connaissance : un Dieu qui se révèle à tous – descendants d’Abraham ou pas – et qui demande seulement qu’on Le reconnaisse, qu’on Le cherche, dans les mots ou dans le silence. De ce mélange imparfait naquit un peuple élu, non pas une nation figée, mais une mosaïque d’individus, de toutes origines, qui disent oui à cet appel.
L’espoir pour l’humanité est là : toi, qu tu sois né dans une foi ou hors de toute croyance, tu es un héritier de ce désert. Les fils de Jacob, les Égyptiens, les étrangers – ils montrent que tous peuvent être élus. Reconnais le Créateur, non pas comme une obligation, mais comme une invitation : à voir le mystère dans le monde, à agir avec courage, à aimer sans mesure. Le premier commandement n’était pas une chaîne, mais une clé : « Je suis », dit-Il, et toi, tu peux répondre : « Je te reconnais Créateur tout puissant »
Alors, lève-toi. Que tu pries dans un temple, une église, une mosquée, ou que tu cherches sans mots, tu portes cet écho du Sinaï. Les marcheurs du désert – divers, faillibles, unis – nous ont donné un commencement. À nous d’écrire la suite, individu par individu, jusqu’à ce que l’humanité entière devienne un peuple élu, non pour dominer, mais pour illuminer. Car l’espoir est une flamme que nous allumons ensemble, et elle brillera aussi loin que nos cœurs la porteront.
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