Pour la reconnaissance du Créateur et la paix sur terre!
"Tous face à un même Créateur !"
Pour la reconnaissance du Créateur et la paix sur terre!
"Tous face à un même Créateur !"
"Tous face à un même Créateur !"
"Tous face à un même Créateur !"
"Cessez vos rituels creux et vos édifices grandioses si vos cœurs sont loin de la vérité. Dieu ne cherche pas des apparences, mais des vies transformées par l’amour et la droiture."
"Vous bâtissez des tours et accumulez des richesses, mais vos sociétés écrasent les faibles et ignorent les affamés. Repentez-vous, car le jugement viendra si vous persistez dans l’injustice."
"Pourquoi vous divisez-vous au nom de Dieu ? Le Saint d’Israël appelle tous les peuples à s’unir dans la justice et la paix, non à se déchirer par des dogmes ou des rivalités."
"La terre souffre à cause de votre avidité et de votre orgueil. Tournez-vous vers votre Créateur avant que la destruction ne s’aggrave. Il est encore temps de choisir la vie et la réconciliation."
"N’ayez pas peur, car Dieu n’a pas abandonné le monde. Un jour viendra où la paix régnera, où les blessures seront guéries, et où tous reconnaîtront leur Créateur. Préparez ce jour par vos actes de justice et de foi."
"Vous avez remplacé l’adoration du Dieu vivant par des idoles modernes : l’argent, le pouvoir, les écrans. Rien de tout cela ne vous sauvera. Revenez à ce qui donne un sens éternel à vos vies."
Il est murmuré dans les anciennes sagesses : "Observe ce qui se tient sous tes yeux, et ce qui semble voilé se dévoilera à toi ; car rien n’est enfoui dans l’ombre qui ne finira par luire." Ainsi parlent les voix qui traversent le temps, ainsi résonne un appel au cœur de chacun.
Le monde qui nous entoure – la terre sous nos pas, le ciel au-dessus, le souffle dans nos poitrines n’est pas un simple décor. Il est un miroir vivant, un tissu où dansent des reflets de l’immense. Chaque arbre, chaque pierre, chaque instant porte une vérité silencieuse. Celui qui sait regarder, celui qui écoute avec son être entier, découvrira ce qui repose sous la surface. Ce qui est proche abrite ce qui semble loin ; ce qui est visible cache en son cœur ce qui attend d’être vu.
Tout ce que nous touchons et voyons est comme une parole offerte, un signe qui invite à aller plus loin. Les anciens ont dit que la réalité est plus vaste que nos yeux ne le perçoivent, que derrière le voile des choses brille une lumière sans fin. Cette lumière ne se cache pas dans des lieux inaccessibles ; elle vit ici, dans le simple et le quotidien. En prêtant attention à ce qui est donné, en honorant ce qui nous entoure, nous commençons à entrevoir l’invisible.
Rien ne reste à jamais dans l’obscurité. Une force – appelons-la sagesse, vie, ou mystère – œuvre pour que tout soit un jour illuminé. Ce qui est dispersé sera réuni, ce qui est brisé trouvera son unité. Chaque pas vers la vérité, chaque geste de cœur, participe à ce grand dévoilement. Le monde est un espace de transformation, un lieu où l’esprit s’éveille pour rassembler ce qui fut éparpillé.
Il n’est pas besoin de chercher au bout de l’horizon, car le mystère pulse déjà dans ce qui est là : dans le vent qui passe, dans le rire d’un enfant, dans le silence d’une nuit étoilée. La connaissance n’est pas une montagne à gravir, mais une flamme qui s’allume en nous et autour de nous. Les sages de tous les temps ont dit : "Dans l’unité du plus petit repose l’éclat du tout." Ainsi, en accueillant ce qui est humble, nous touchons ce qui est grand.
Que celui qui cherche entende : la vérité ne se tait jamais, elle attend d’être reconnue. Et dans cet accueil, le voile se dissout, et l’être devient un reflet de la lumière qui éclaire toutes choses.
Sur Youtube, musique inspirée du Créateur, cliquez sur le lien ici-bas (LOGO Youtube).
"La non-violence est ma force. Elle peut transformer le monde si nous l’embrassons avec cœur."
"J’ai un rêve : l’égalité unit les cœurs. Marchons ensemble pour la justice et la paix."
"Je crois en la réconciliation. Ensemble, nous pouvons guérir et unir notre monde."
"La paix naît de la réconciliation. Tendons la main pour construire un avenir commun."
"La paix est en nous. Respirons, aimons, et elle rayonnera."
Il y a bien longtemps, dans un désert aride et infini, un peuple marcha pendant quarante ans. On les appelle les Israélites, mais ils n’étaient pas un groupe homogène, tous issus d’Abraham par le sang. Parmi eux se trouvaient les fils et filles de Jacob, descendants directs d’Abraham par Isaac et Israël, porteurs d’une promesse ancienne. Mais il y avait aussi d’autres âmes : des Égyptiens qui avaient fui l’oppression avec eux, des étrangers mêlés à la foule par mariage ou par choix, et des tribus voisines attirées par les murmures d’un Dieu unique qui parlait dans le feu et le vent. Ce n’était pas une lignée pure, mais un rassemblement hétéroclite, uni par une marche et un espoir.
Dans ce désert, une voix tonna depuis une montagne : « Je suis l’Éternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison de servitude. » C’était le premier commandement, une reconnaissance du Créateur – non pas comme une idole taillée dans la pierre, mais comme une présence qui libère, qui appelle, qui voit chaque cœur, qu’il soit fils d’Abraham ou étranger dans la foule. Cette parole ne s’adressait pas seulement aux descendants directs, mais à tous ceux qui écoutaient, à tous ceux qui pouvaient lever les yeux vers l’inconnu et dire : « J’entends. »
Ces marcheurs trébuchèrent souvent. Les enfants de Jacob doutèrent, les Égyptiens regrettèrent leur passé, les étrangers vacillèrent entre leurs anciennes croyances et cette voix nouvelle. Pourtant, de leurs pas incertains jaillit une lumière – une connaissance fragile, un fil d’or tissé dans leurs récits : le Créateur existe, et Il appelle l’humanité à se reconnaître dans Sa création. Cette lumière ne resta pas enfermée dans le désert ; elle se répandit à travers les âges.
Les siècles passèrent, et la voix du Sinaï résonna dans d’autres langues, d’autres cœurs. Moïse grava des lois pour guider, Jésus tendit une main aux rejetés, Mahomet chanta une unité pour tous, Bouddha éclaira une paix intérieure, les sages hindous virent l’infini dans chaque âme, et les athées, sans nommer Dieu, cherchèrent un sens dans la raison. Chacun reçut un éclat de cette connaissance originelle – pas un privilège pour un seul sang, mais un héritage pour tous, né du chaos du désert où descendants d’Abraham et étrangers marchaient côte à côte.
Aujourd’hui, dans un monde divisé, cet héritage nous revient. Le désert nous enseigne que l’élection n’est pas une question de naissance, mais de réponse. Les fils de Jacob, les Égyptiens repentis, les nomades curieux – tous pouvaient être élus, non parce qu’ils étaient parfaits, mais parce qu’ils ont entendu l’appel du Créateur et ont choisi d’y répondre. Et toi aussi, tu le peux.
Imagine une femme dans une ville bruyante, lisant le premier commandement dans un vieux livre. Elle murmure : « Il y a un Créateur », et décide d’aider un voisin dans le besoin – une élue par son acte. Imagine un homme méditant sous un arbre, un descendant spirituel de ces étrangers du désert, trouvant une vérité sans nom et la partageant – un élu par sa quête. Imagine une enfant récitant une prière musulmane, reconnaissant Allah comme le Libérateur, et choisissant la bonté – une élue par sa foi. Imagine un athée, étudiant les étoiles, sentant une grandeur sans la nommer, et travaillant pour la justice – un élu par son humanité.
Le Créateur, dont le premier souffle fut entendu dans le désert, ne choisit pas par le sang, mais par le cœur. Les Israélites, avec leurs compagnons d’exode, furent les premiers à porter cette connaissance : un Dieu qui se révèle à tous – descendants d’Abraham ou pas – et qui demande seulement qu’on Le reconnaisse, qu’on Le cherche, dans les mots ou dans le silence. De ce mélange imparfait naquit un peuple élu, non pas une nation figée, mais une mosaïque d’individus, de toutes origines, qui disent oui à cet appel.
L’espoir pour l’humanité est là : toi, qu tu sois né dans une foi ou hors de toute croyance, tu es un héritier de ce désert. Les fils de Jacob, les Égyptiens, les étrangers – ils montrent que tous peuvent être élus. Reconnais le Créateur, non pas comme une obligation, mais comme une invitation : à voir le mystère dans le monde, à agir avec courage, à aimer sans mesure. Le premier commandement n’était pas une chaîne, mais une clé : « Je suis », dit-Il, et toi, tu peux répondre : « Je te reconnais Créateur tout puissant »
Alors, lève-toi. Que tu pries dans un temple, une église, une mosquée, ou que tu cherches sans mots, tu portes cet écho du Sinaï. Les marcheurs du désert – divers, faillibles, unis – nous ont donné un commencement. À nous d’écrire la suite, individu par individu, jusqu’à ce que l’humanité entière devienne un peuple élu, non pour dominer, mais pour illuminer. Car l’espoir est une flamme que nous allumons ensemble, et elle brillera aussi loin que nos cœurs la porteront.
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